Pour la fête des pères




Si l’amnésie saisonnière frappe de plein fouet, ces belles qui paradent et roucoulent, quand le printemps arrive, d’autres ont, ce que j’appellerai “la culotte un peu trop courte”. N’en déplaise à celles qui se sentent, comment dirais-je, quelque peu concernées, mon billet d’humeur, est un poème pour la gent masculine. Et oui, messieurs, il y a en ce bas monde, une espèce, qui n’est pas prête d’être en voie de disparition. 
Elle n’est pas rare la gueuse, qui pour une raison, qu’elle seule connaît, se complaît dans une névrose, créée de toute pièce. Et c’est cette névrose, calculée, bien orchestrée, que je dénonce, en rendant hommage, à tous ces hommes, qui ont le respect des femmes, telles qu’elles sont. En restant fidèle à ce qu’ils étaient au premier rendez-vous. En restant fidèle, à ce qu’ils sont, avec leurs défauts et leurs faiblesses. 
Les hommes, mesdames, ne sont pas tous, de parfaits mâles en rut. Ils ne sont pas tous, des goujats machos, qui séduisent, lèvent la queue et puis s’en vont. Ces hommes là, ceux qui aiment tout simplement, ceux qui assument leur vie de couple, en étant égaux à eux-mêmes, ceux là mêmes, qui sauront deviner dans les yeux de leur belle, que quelque chose, ne tourne pas rond, ce sont eux, qui finiront par être méprisés. Ce sont eux encore, que l’on accusera d’indifférence, d’adultère ou bien de faiblesse. 
Parce que leur douce, en proie à une soudaine montée d’hormones, se montrera à la fois, exaspérée, distante et surtout empêtrée dans un mensonge bien dissimulé. Prétexte d’un raz le bol, d’une dépression, d’une lassitude du quotidien, et l’homme devient fautif de leur mal être. Pas honnête pour deux sous, elles préfèrent accuser l’autre. Ce n’est pas un manque de courage, c’est lâche, hypocrite et bien trop facile.
Elle est belle la féminité ! Et après, ça demande le respect et l’égalité. 
Messieurs, je vous aime
A bon entendeur (se) salut.

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